Le journaliste camerounais Saïd Penda, proche du RHDP de Ouattara, fait des révélations sur l’état de santé de Hamed Bakayoko.
Donné pour très gravement malade ou même déjà mort d’empoisonnement, par Soro et sa bande de charognards prêts à étancher leur soif de sang comme ce lâche oiseau qui se nourri de cadavres, voici la réalité sur le cas Hamed Bakayoko.
Contrairement aux élucubrations de soro et sa horde de voyous des réseaux sociaux qui enchaînent directs youtube, facebook et articles sur des sites constituants leurs usines à fake news, Hamed Bakoyoko a marché pour embarquer dans un des avions de la flotte présidentielle ivoirienne.
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Selon mes sources présentes sur le tarmac au moment de son embarquement dans le secteur de l’aéroport d’Abidjan où sont garés les avions présidentiels, il avait sa démarche assurée habituelle et n’a pas manqué de plaisanter avec le personnel de l’armée de l’air qui l’attendait pour les honneurs au bas de la passerelle.
A son arrivée à l’aéroport du Bourget à Paris, mes sources indiquent que Hambak a été accueilli par l’ambassadeur de Côte d’Ivoire en France, Maurice Bandama, et par un membre du protocole de l’ambassade. Aucune ambulance ni civière là-aussi.
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Preuve supplémentaire de ce que le premier ministre ivoirien n’était pas mourant, son épouse n’était pas du vol. Elle ne l’a rejoint que quelques jours plus tard à Paris, où ils ont été aperçus dans les rues d’une bourgeoise banlieue où Hamed Bakoyoko possède une maison.
La bande des charognards qui se préparaient déjà à festoyer sur le cadavre du PM ivoirien devra donc encore attendre. Ce qui est étonnant dans cette affaire, c’est le narratif jouissif que soro et ses nervis font de ces évènements, comme si la mort du premier ministre installerait automatiquement l’ex-seigneur de guerre au pouvoir.
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Or c’est très loin d’être le cas. Après avoir claqué les portes du parti d’Alassane Ouattara, Guillaume Soro qui pouvait prétendre à la succession et qui était même cité par de nombreux analystes comme un des remplaçants putatifs du président Ivoirien n’est désormais même plus à la centième position dans l’ordre de succession -non pas uniquement du parti au pouvoir- mais même dans le cœur des Ivoiriens qui lui vouent une haine profonde.